*Deuxième dimanche du temps ordinaire - Année B § Bons dimanche et week-end -- Amitiés *
13/01/2018 09:50 par marie-andree
Deuxième dimanche du temps ordinaire - Année B
Premier livre de Samuel 3,3b-10.19.
En ces jours-là, le jeune Samuel était couché dans le temple du Seigneur à Silo, où se trouvait l’arche de Dieu. Le Seigneur appela Samuel, qui répondit : « Me voici ! » Il courut vers le prêtre Éli, et il dit : « Tu m’as appelé, me voici. » Éli répondit : « Je n’ai pas appelé. Retourne te coucher. » L’enfant alla se coucher. De nouveau, le Seigneur appela Samuel. Et Samuel se leva. Il alla auprès d’Éli, et il dit : « Tu m’as appelé, me voici. » Éli répondit : « Je n’ai pas appelé, mon fils. Retourne te coucher. » Samuel ne connaissait pas encore le Seigneur, et la parole du Seigneur ne lui avait pas encore été révélée. De nouveau, le Seigneur appela Samuel. Celui-ci se leva. Il alla auprès d’Éli, et il dit : « Tu m’as appelé, me voici. » Alors Éli comprit que c’était le Seigneur qui appelait l’enfant, et il lui dit : « Va te recoucher, et s’il t’appelle, tu diras : “Parle, Seigneur, ton serviteur écoute.” » Samuel alla se recoucher à sa place habituelle. Le Seigneur vint, il se tenait là et il appela comme les autres fois : « Samuel ! Samuel ! » Et Samuel répondit : « Parle, ton serviteur écoute. » Samuel grandit. Le Seigneur était avec lui, et il ne laissa aucune de ses paroles sans effet.
Psaume 40(39),2ab.4ab.7-8a.8b-9.10cd.11cd.
D'un grand espoir j'espérais le Seigneur :
En ma bouche il a mis un chant nouveau, une louange à notre Dieu.
Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice, tu as ouvert mes oreilles ;
tu ne demandais ni holocauste ni victime, alors j'ai dit :
« Voici, je viens.
« Dans le livre, est écrit pour moi ce que tu veux que je fasse.
Mon Dieu, voilà ce que j'aime : ta loi me tient aux entrailles. »
Vois, je ne retiens pas mes lèvres, Seigneur, tu le sais.
J'ai dit ton amour et ta vérité à la grande assemblée.
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 6,13c-15a.17-20.
Frères, le corps n’est pas pour la débauche, il est pour le Seigneur, et le Seigneur est pour le corps ; et Dieu, par sa puissance, a ressuscité le Seigneur et nous ressuscitera nous aussi. Ne le savez-vous pas ? Vos corps sont les membres du Christ. Vais-je donc prendre les membres du Christ pour en faire les membres d’une prostituée ? Absolument pas ! Celui qui s’unit au Seigneur ne fait avec lui qu’un seul esprit. Fuyez la débauche. Tous les péchés que l’homme peut commettre sont extérieurs à son corps ; mais l’homme qui se livre à la débauche commet un péché contre son propre corps. Ne le savez-vous pas ? Votre corps est un sanctuaire de l’Esprit Saint, lui qui est en vous et que vous avez reçu de Dieu ; vous ne vous appartenez plus à vous-mêmes, car vous avez été achetés à grand prix. Rendez donc gloire à Dieu dans votre corps.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 1,35-42.
En ce temps-là, Jean le Baptiste se trouvait avec deux de ses disciples. Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, il dit : « Voici l’Agneau de Dieu. » Les deux disciples entendirent ce qu’il disait, et ils suivirent Jésus. Se retournant, Jésus vit qu’ils le suivaient, et leur dit : « Que cherchez-vous ? » Ils lui répondirent : « Rabbi – ce qui veut dire : Maître –, où demeures-tu ? » Il leur dit : « Venez, et vous verrez. » Ils allèrent donc, ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. C’était vers la dixième heure (environ quatre heures de l’après-midi). André, le frère de Simon-Pierre, était l’un des deux disciples qui avaient entendu la parole de Jean et qui avaient suivi Jésus. Il trouve d’abord Simon, son propre frère, et lui dit : « Nous avons trouvé le Messie » – ce qui veut dire : Christ. André amena son frère à Jésus. Jésus posa son regard sur lui et dit : « Tu es Simon, fils de Jean ; tu t’appelleras Kèphas » – ce qui veut dire : Pierre.
Deuxième dimanche du temps ordinaire
Commentaire du jour
Basile de Séleucie (?-v. 468), évêque Sermon
à la louange de saint André, 4 ;
PG 28,1105 (trad. Orval rev.)
« Nous avons trouvé le Messie »
Prenant Pierre avec lui, André conduit au Seigneur son frère selon la nature et le sang pour qu'il devienne disciple comme lui ; c'est le premier exploit d'André. Il fait croître le nombre des disciples ; il y introduit Pierre, en qui le Christ trouvera le chef de ses disciples. C'est si vrai que lorsque, plus tard, Pierre aura une conduite admirable, il la devra à ce qu'André avait semé. La louange adressée à l'un rejaillit également sur l'autre, car les biens de l'un appartiennent à l'autre, et l'un se glorifie des mérites de l'autre. Quelle joie Pierre a procurée à tous lorsqu'il a répondu tout de suite à la question du Seigneur, rompant le silence embarrassé des disciples ! ... Pierre seul a prononcé ces paroles : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant » (Mt 16,16). Il parlait au nom de tous ; en une phrase, il proclamait le Sauveur et son dessein de salut. Comme cette proclamation s'accorde bien avec celle d'André ! Les paroles qu'André avait dites à Pierre lorsqu'il l'avait conduit au Christ –- « Nous avons trouvé le Messie » — le Père céleste les confirme lorsqu'il les inspire lui-même à Pierre (Mt 16,17) : « Tu es le Messie, le Christ, le fils du Dieu vivant. »
AGREABLES DIMANCHE ET WEEK-END.
Je viens vous souhaiter un Bon Week-End
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Quelques fleurs d'hiver §
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Bouquet -- Jardins --
Fleurs avec la neige.
QUELQUES FLEURS D'HIVER.
AMITIES
Quelques images -- HUMOUR --, avec BETTY BOOP.
** BONNE ANNEE, AVEC BETTY BOOP **
Citations
Quand perd-on la capacité à être joyeux ?
À quel âge enterre-t-on l'enfant que nous fûmes ?
Pourquoi commet-on cette erreur stupide ?
Valérie Tong Cuong
Pour ta survie, ne compte jamais sur les puissants.
Ne t'approche pas d'eux, ne leur demande aucune aide,
n'attends aucun secours de leur part.
Dans la vie, ne t'en remets qu'à toi, rien qu'à toi.
Irène Frain
** FEMME ECOLO **b4b59d9a.jpg
* * BONJOUR * *
* QUELQUES BELLES IMAGES SUR THEMES DIVERS .
ET, IMAGES / CREATION -- KDOS .*
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Je viens vous souhaiter,
bons samedi - dimanche et week-end §
Si ma Création vous plait, Prenez § Offert - Kdo.
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Juste pour le fun ... "chat va bien" ? moi aussi !
Le Mickey maousse ...
Un petit garçon demande à son père :
- Papa ! Ça veut dire quoi " vice " ? ...
- Eh bien, quelque chose d'anormal, de sale. Par exemple, un homme qui fait des choses dégoûtantes avec une dame, ou qui s'exhibe devant les petites filles, ou qui touche les petits garçons. Mais pourquoi tu me demandes ça ?
- Parce que je viens d'être nommé vice-président du club Mickey ..
Sans un mot ...
Un Suisse rentre chez lui, après son travail, et sa femme lui dit : - Tu ne devineras jamais ce qui m'est arrivé cet après-midi.Figure-toi qu'on a sonné, j'ai ouvert et je me suis trouvée en face d'un type qui ne disait pas un mot. Il est entré, et il a refermé la porte, toujours sans un mot. - Pas possible ... - Si ! Il m'a poussée dans la chambre, toujours sans rien dire, et il m'a jetée sur le lit. - Pas possible ... - Je t'assure. Et puis, sans un mot, il a arraché ma robe, ma culotte, et il m'a violée. - Pas possible ... - Je te jure? Après il s'est rajusté et il est reparti sans dire un mot. - Ah ! fait le mari. Alors on ne saura jamais pourquoi il est venu ...
Dans une grotte ...
En visitant une grotte, un Français découvre une lampe.
Il la frotte et un génie en sort, qui lui dit :
– Tu m’as sauvé la vie. Pour te remercier, demande-moi ce que tu veux.
– J’aimerais que tu me construises un pont jusqu’à New York.
– Mais ça va pas ! Te rends-tu compte de tout le travail avec des fondations en pleine mer, des tonnes de béton …! Demande moi autre chose !
Le Français réfléchit un moment, puis dit :
– J’aimerais que l’équipe de France de football redevienne championne du monde.
Alors le génie blêmit et lui dit :
– Ton pont, tu le veux à deux ou à quatre voies ?
Ces créations, ci-dessus, et, Créa, en Présentation Article & Prenez, si elles vous Plaisent §
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Je viens vous souhaiter un Bon Vendredi.
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Quelques fleurs d'hiver §
Bouquet -- Jardins --
Fleurs avec la neige.
QUELQUES FLEURS D'HIVER.
AMITIES
* * BONJOUR * *
* QUELQUES BELLES IMAGES SUR THEMES DIVERS .
ET, IMAGES / CREATION -- KDOS §§ CHANSON. *
Les saisons § Et ici, l'HIVER.
Explicatif et quelques images d'hiver.
" Une poésie d' H i v e r " .
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Bonne fin de semaine -- Bisous.
Qu’est-ce que l’hiver ?
Par Jean Provencher
le 1 novembre 2013
Allez, novembre est là depuis minuit.
Pourquoi retarder le moment de cette question, puisque bientôt nous y serons.
Que le mot est court, mais que la chose est longue.
Cinq lettres suffisent à la main, deux syllabes à la voix,
pour renfermer cinq mois en deux voyelles et trois consonnes;
pour susciter dans l’âme toute une gamme d’impressions,
dérouler devant nos yeux toute une série de tableaux !
L’hiver est la 4e et dernière saison de l’année.
Mais le bon sens populaire, en désaccord ici avec la science,
a choisi ce moment pour commencer son année,
afin sans doute de se débarrasser au plus vite du fâcheux.
L’hiver, c’est la période du deuil de la terre, qu’elle porte en blancs,
contrairement à notre coutume;
alors plus de fleurs éclatantes et parfumées,
plus de fruits savoureux, plus de berceaux épais,
de gazons verdoyants; plus de forêts harmonieuses,
plus de ruisseaux murmurants, d’oiseaux chanteurs,
de brises tièdes;
plus de travaux champêtres, tout languit, tout meurt.
La neige couvre le sol, la brise du nord souffle,
les arbres semblent gémir;
la glace emprisonne les eaux, les champs sont déserts
, le vent pleure aux portes et la misère
avec son cortège funèbre force les demeures,
entre par les fentes mal jointes,
les vitres absentes pour s’asseoir dans bien des foyers.
C’est la saison des engelures qui transforment les mains en pattes de homard,
du rhume qui change le nez en robinet de fontaine;
des rhumatismes, des inflammations de poitrine, des maux de gorge.
Si l’on sort, il faut s’empaqueter comme un colis;
si l’on rentre, il faut presque se déshabiller;
et si l’on reste à la maison, l’on devra supporter, pour cent motifs,
une température à faire éclore des œufs d’autruche.
La mythologie représentait l’hiver sous les traits
d’un vieillard couvert de glaçons,
avec la barbe et les cheveux blancs; la neige.
Quand vous irez à Montréal en hiver,
regardez le petit Neptune qui surmonte le jet d’eau
près du Palais de justice, il peut vous donner une idée
du bonhomme de l’antiquité.
Mais quoi qu’on en dise, il y a du bon, de l’excellent même.
Dans les autres saisons de l’année, l’on vit sous le ciel,
aux champs, ou dans la rue, un peu partout;
pendant l’hiver on vit chez soi.
C’est le temps de la vie de famille, des joies intimes du foyer,
des longues causeries, des contes aux enfants, des parties de cartes,
des projets d’avenir exposés au coin du feu.
C’est aussi l’époque des grandes fêtes religieuses de Noël,
du jour de l’An, des Rois.
Qui n’a souvent évoqué le souvenir de la messe de minuit
célébrée dans une église de village ?
La terre est recouverte d’un blanc tapis de neige
qui crie sous les pieds ou les patins de la carriole;
au firmament scintillent mille étoiles, et au loin,
tandis que le joyeux carillon des cloches appelle les fidèles,
la lueur des cierges s’épandant sur les vitraux couverts de givre
font resplendir le saint édifice dans la nuit comme un château de fée.
Et le jour de l’An, cette fête des petits enfants,
ce jour d’amicales effusions, de cadeaux de toutes sortes, bonbons, etc.
Et la fête des Rois, le gâteau traditionnel avec sa fève,
ses souverains d’un jour ! Et les promenades en traîneaux
à travers les champs silencieux, les glissades au clair de la lune,
le patinage, les soirées mondaines, les bals, les soupers,
tout ce qui constitue le charme de la vie sociale.
Et, depuis les deux dernières années,
les fêtes féériques du Carnaval de Montréal,
avec son château de glace, ses montagnes russes,
ses processions aux flambeaux, ses masquarades [sic]
et autres amusements.
Toutes ces joies, ces plaisirs, ces divertissements,
nous les devons à cette saison.
Grâce à l’hiver, la terre fatiguée se repose dans un sommeil réparateur.
Grâce à l’hiver aussi, l’homme respire un surcroît de force et d’énergie.
L’hiver a en outre une autre excuse, c’est qu’il engendre le printemps.
Donc fêtons l’hiver, si nous voulons célébrer le printemps.
Source : L’Étoile du Nord (Joliette), 22 novembre 1884.